une petite nouvelle, une histoire courte
un extrait d'une nouvelle publication
un extrait d'un texte nommé dérive que j'avais écrit en 2015. L'histoire manquait de souffle, de rythme, de cadence....
une petite histoire sans prétention, c'est un brouillon.
J'ai écrit ce texte, plus léger, un poids plume de la réflexion intellectuelle. Tu écris, tu arrives à un moment où...
New York, USA, ce texte n'est pas piqué des hannetons.
Un texte sur le COVID en Suisse. — Il n’y a pas le feu au Lac ! Je me lève, je regarde le lac de Lausanne, il se...
Je parlais un peu de l'Espagne, du COVID, du temps qui passe, des corridas, des bordels, des maquerelles. Je parlais...
Le Covid et l'Italie ; j'aime bien ce texte. Il manquait des rebondissements et l'envie d'écrire une suite.
Un texte aussi abandonné, je tournais en rond, le Brésil et le COVID. Je vous offre le début.
J'ai écrit ce texte, plus léger, un poids plume de la réflexion intellectuelle. Tu écris, tu arrives à un moment où tes héros butent contre un mur. La suite devient impossible, alors elle meurt avant d'avoir existé. Promenons-nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas.
New York, USA, ce texte n'est pas piqué des hannetons.
Un texte sur le COVID en Suisse. — Il n’y a pas le feu au Lac ! Je me lève, je regarde le lac de Lausanne, il se révèle toujours aussi beau, le soleil cherche le midi, il le trouvera. J’habite une petite maison qu’on a implantée sur le rivage. On ne découvre aucun voisin, juste la route à une centaine de mètres, et un modeste voilier accosté au quai. À son bord, je pêche le dimanche. Je viens de me réveiller, je me rends compte que j’ai atteint depuis quelques jours mes trente ans.
Je parlais un peu de l'Espagne, du COVID, du temps qui passe, des corridas, des bordels, des maquerelles. Je parlais un peu de l'Espagne.
Le Covid et l'Italie ; j'aime bien ce texte. Il manquait des rebondissements et l'envie d'écrire une suite.
Un texte aussi abandonné, je tournais en rond, le Brésil et le COVID. Je vous offre le début.
Le COVID débarque aux USA. Chacun y va de sa vision de cette maladie. Au Texas, vit James. Laissons-lui la parole. La liberté d'expression consiste aussi à le laisser parler. C'est une ébauche de roman. Je me nomme James, cinquante ans, j’habite Houston, marié et deux enfants. Voilà comment je me présente sur les réseaux sociaux. J’y suis souvent, je combats les fakes-news de CBS, ils m’épouvantent.
J'ai commencé à écrire ce texte au moment de la crise du COVID, mais je n'ai pas continué, je ne connaissais pas la culture et le mode là-bas. Une scientifique qui vit à Pékin et travaille dans un laboratoire lié à l'armée chinoise. Elle doute de son travail, de la Chine. Elle a peur de ce virus qui commence à se propager.
En quête d'identité, encore un mensonge pour cacher la réalité d'un lien de filiation. On ne dissimule plus un migrant, mais une personne qui fut un serial killer. On cache l'identité réelle.
Identité, c'est comme une rengaine chez moi. Je tente d'écrire et creuser tout ce qui peut se produire en quittant son pays. On reste toujours attaché, même si on sait qu'on pourra jamais revenir. Notre vie se déroule.
