

C’est l’histoire d’un mec. C’est un homme nuisible. Il a tous les défauts de la terre. Il découvre l’homosexualité, il vient d’y consentir. Il ne s’en souvient pas.
Au volant d’un camion, après quelques vicissitudes, il tente de suivre une route. Tout ce qui est corrompu, dépravé, détraqué, malade, fou furieux, dangereux, malsain, morbide en Californie lui a souri.
Dans le camion, le trésor de guerre du cartel américain de la drogue
Ils aimeraient le récupérer,lui, il veut le garder. Ce qui laisse présager quelques mésaventures.
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C’est une histoire trash, en termes plus clairs certains pourront dire que ce texte a un gout douteux dans le sens qui flatte les bas instincts. Je suis une romancière d'histoires sordides, je ne raconte pas de récits où on admire un monde parfait.
Bryan Tyler est un mâle toxique, l’homme que toutes les féministes détestent. Il arrive de New York, personne ne sait pas pourquoi, il a quitté cette ville, il semble la fuir. Le passé lui court après. Il ne parait pas s’en préoccuper. Il voyage de ville en ville, à la recherche d’un peu de monnaie en vue de vivre.
Il est écrivain, il écrit des poèmes qu’il lit au fond de vieux bars où quelques personnes l’écoutent. Il gribouille, et en subsiste péniblement.
Il est persuadé que les fesses d’une femme, c’est ouvert pour tout le monde, c’est un libre-service. Il tâte leurs fesses comme si c’était des fruits, il veut apprécier si la marchandise est bonne. Un fruit ne dit rien, il attend la même choses des dames.
Un soir, il échoue dans un bar homo, il rencontre une femme incendiaire, il voudrait lui monter dessus. C’est une travailleuse du sexe, qui vend ses services sur Snapchat. Cent euros l’abonnement mensuel, elle dévoile ses fesses, ses seins et son bijou intime. Les mecs crachent les dollars pour se masturber dessus. Elle en vit confortablement. Elle n’est pas du genre à se faire emmerder un mec en manque de baise. C’est Shirley. Subjugué, mais, ce n’est pas ouvert si tu te ne sors pas tes billets comme un tuberculeux ses mouchoirs. Tu dois être un véritable distributeur de billets de banque.
Au départ de cette gonzesse, il est dégouté qu’elle n’est succombée à son charme après lui payer un verre, si tu offres un verre à une fille, c’est pour t’allonger dessus. Sinon tu épanches ta soif tout seul.
Quelques minutes après, accolé au comptoir, il échange avec David, un inconnu, il le trouve un peu louche. il est efféminé, des bijoux et des tenues voyantes. Bien qu’il s’en méfie, il reste avec lui. Il aime bien les choses nettes, là, David n’est pas clair et franc au sujet de son genre. C’est un noir, en compagnie d’un de ses amis, un chinois, il invite Bryan à boire un verre chez lui.
Le mec nocif devient la chose passive entre les mains du jeune noir et du chinois. David est monté comme un âne. Ses fesses allaient s’en rappeler. C’est sa première expérience homosexuelle. Le lendemain, en se levant il se rend compte qu’il a du mal à marcher.
En quittant son hôtel, il se rend dans la boutique d’un marchand d’hamburgers, le midi, Édélia, une brune de vingt ans sert. Une brune latine qui fait danser la samba à ses sens. Ses formes forment un attrait, il ne peut pas y a toucher, elle a des frères, un peu fous, c’est un sens interdit.
À l’hôtel, un bar, la barman s’appelle Cyndi, une rousse pulpeuse qui me rend dingue. On est souvent amoureux quand on est encore relativement jeune.
David, après plusieurs rencontres, lui propose un deal. Il a besoin de quelqu’un pour conduire un camion d’El Paso à Houston, du moins aux alentours de Houston, et ils devraient revenir en conduisant un autre camion de Houston à Los Angeles. C’est bien payé. Celui qui allonge le fric est un malfrat qui s’appelle Mario, il mange des spaghettis avec frénésie, et tourne des films gays amateurs. C’est lors de la réalisation d’un de ces films qu’il rencontra David. Ce sont des films que les gens regardent en streaming sur des sites du dark web.
Tout devrait se passer comme une lettre à la poste. Tu as la timbre, et tu mets dans la boite aux lettres, le facteur la dépose.