

Yves Tricard vit paisiblement entre son métier de comptable et ses périodes de chômage. Actuellement, il est comptable pour un hypermarché Toison d'Or à Dijon. Il a une relation avec Cynthia, une commerçante, il l'appelle comme ça, elle compte et compte sa caisse tous les soirs. Il lui reconnaît un amour passionné pour ses fesses.
Sa vie se déroule paisiblement, mais un jour, tout change, il hérite d'un oncle dont il ignorait l'existence. Son père est décédé dans les premières années de sa vie. Sa mère l'a effacé et n'en parle jamais.
Devant le notaire, il découvre qu'il a hérité d'un domaine viticole, d'un château et d'un centre équestre. Il est devenu riche. Lorsqu'il arrive au château, il découvre qu'une personne est présente. Peu importe à quel point il regarde, il ne voit personne.
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Yves Tricard vit une vie paisible entre son travail de comptable et ses périodes de chômage. Les périodes d'inactivité, le stress, la peur de la pauvreté lui resserrent la gorge. C'est pourquoi il accepte un emploi. Il vit à Dole, il accepte de voyager pour gagner sa vie. L'ancienne capitale de la Franche-Comté n'est plus qu'une petite ville provinciale.
À l'heure actuelle, il travaille chez Carrefour à Dijon, il fait la comptabilité de l'hypermarché Toison d'Or. Le ter et le tramway, le matin et le soir, un voyage de trois heures, vous devez aimer votre travail. Avant de prendre le tramway, il boit un café au Station Café. Le tramway le matin est une boîte de sardines, c'est un sauna. Il transpire comme un bœuf. Ce tramway n'est pas le tramway nommé désir, et je ne suis pas Ernest Hemingway.
Il vit une relation avec Cynthia, une commerçante, il l'appelle ainsi, elle compte et raconte sa boîte tous les soirs. Il aime l'argent et le commerce. Il est toujours gagnant, son leitmotiv.
Il reconnaît un amour passionné pour ses fesses. Le restaurant avec Cynthia le week-end, après avoir pris soin de son postérieur sous un porche ou dans la forêt. Parfois, un bar, où il boit plus que de raison, à moins qu'il ne passe la nuit avec elle. Une bière ou son cul, il doit choisir. En hiver, entre la chambre et les bois, l'hésitation ne tient pas l'eau.
Sa vie coule comme une rivière calme dont le parcours ne rencontre jamais de pièges, il ne lui venait jamais à l'idée de sortir du lit. Un jour, tout change, une lettre d'un notaire lui dit qu'il a hérité d'un oncle qu'il ne savait pas existant.
Son père est décédé dans les premières années de sa vie. Sa mère l'a effacé et n'en parle jamais. Il a grandi avec un fantôme, il savait qu'il existait, il ne sait rien de lui, sa famille a disparu et n'a montré aucun intérêt pour lui. Cet oncle qui sort de nulle part le laisse perplexe. Il était conscient qu'il avait un neveu, il vivait sans se soucier de son sort. Les familles ne sont pas ce qu'elles étaient.
Devant le notaire, il découvre qu'il a hérité d'un domaine viticole, d'un château et d'une école d'équitation. La description donnée par le notaire Engenders, il est devenu riche. Il ne sera plus jamais comptable. Adieu, tramway, ter, voilà Bordeaux et goodbye la Franche-Comté. Sa propriété est située à Bordeaux.
En arrivant au château, il découvre qu'une personne est présente, et tout le monde en parle en craignant un mal qu'il ne nomme pas. Son nom est Agathe. En cherchant, il n'a vu personne. Des rumeurs lui ont dit qu'elle aurait plus de deux cents ans. Ce sera probablement un fantôme. Un château a toujours son fantôme, même si vous ne vivez pas en Écosse. Il préfère Bordeaux aux brumes d'Édimbourg.
Cynthia est là, elle s'accroche, il y a de l'argent, elle aime l'argent et Yves a le béguin pour ses fesses.
Il est confronté à une énigme, il n'est pas au courant de la personnalité de son oncle, sa mère reste vague : elle l'a rencontré, elle est restée dans la cour, il semblait effrayé en regardant le château. Il retourna voir sa tante, une vieille femme fantasque, la sœur de son oncle. Elle a refusé l'héritage.